Migrations

Rescapés de Gaza, ils sont perçus comme des « dangers » plutôt que comme des réfugiés

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Plusieurs Palestiniens évacués racontent les coulisses de leur entretien pour obtenir l’asile en France. Ils pointent les questions posées par des agents de l’Ofpra, d’abord portées sur les enjeux sécuritaires plutôt que sur la guerre génocidaire à laquelle ils ont survécu.

Nejma Brahim

Certain·es se sont demandé si « c’était le Mossad [le service de renseignement israélien – ndlr], ici ». D’autres s’ils étaient face à « un procureur » plutôt qu’à un officier de protection. Pour les Palestinien·nes rescapé·es de Gaza, l’entretien à l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra), chargé de déterminer s’ils peuvent bénéficier d’une protection en France, s’apparente à une triple violence.

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